Patrimoine

  • Souvenirs d’Antan – L’Église

    L’ancienne église de Saint Michel était située au centre du village du même nom.

    Les registres paroissiaux permettent de connaître les familles qui furent inhumées dans le sous-sol de l’église et des chapelles attenantes, parfois construites par des citoyens à leurs dépens avec l’autorisation de l’Evêque de Gap dont dépendait la paroisse.

  • Souvenirs d’Antan – Le Dimanche

    Vous souvenez-vous également de ces dimanches où la messe était célébrée à l’église du village. Quel grand jour que ce jour du Seigneur, à la campagne autrefois ! La plupart des villageois, s’ils le pouvaient, ne manquaient pas d’assister à l’office divin, donnant congé à leur monture et octroyant à leurs récoltes non périssables quelques heures de soleil de plus.

    Le dimanche était pour tous les enfants et les grandes personnes l’occasion rêvée de sortir les gardes robes et les toilettes des jours de fête, l’occasion des rencontres sur le perron de l’église ou près du four sur la petite place environnant la fontaine. À la fin de la cérémonie, femmes et enfants regagnaient le domicile en jouant pour les uns et jacassant pour les autres. Les hommes, moins pressés, s’attardaient un instant au café du coin, invitant souvent monsieur le curé à trinquer le verre avec eux. Tous se donnaient rendez-vous pour l’après-dîner au jeu de boules ou de cartes.

  • La sage-femme de Saint Michel en Beaumont

    Autrefois les enfants naissaient à la maison, l’hôpital étant trop loin avec les moyens de transport du moment.

    Saint MICHEL avait sa sage-femme, en la personne de Marie PELLISSIER, qui habitait la dernière ferme dans le haut du hameau de VILLELONGE.

  • Cabanes de bergers

    Pendant son mandat de maire, Benoit BARET, entreprit avec son conseil municipal, la construction de deux cabanes de berger.

    C’est en 1928, avec l’aide d’une subvention des “Eaux et Forêts” et le soutien actif de Mr CHEVALIER, garde forestier de MENS, que tous au pays “donnèrent la main” pour ces travaux d’intérêt général.

  • Triste jour de novembre à Saint Michel en Beaumont

    Autrefois, quand les familles avaient des difficultés pour élever leurs enfants, elles les “plaçaient” à la campagne dans une famille.

    Les enfants étaient donc nourris et logés et participaient alors aux travaux de la ferme en compensation.